Cinq cents mercis!

500 billets en 580 jours, il y a pas de doute, j'aime tenir ce blog.

J'ai commencé ce blog, parce que Dam et Doune me l'ont donné en cadeau. J'avais un intérêt personnel, mes capacités de rédactions en français étaient assez faibles, et je pense avoir atteint mon objectif.

Je voulais aussi montrer le lien qui unit tout le vivant sur notre petite planète. Là-dessus vous m'avez largement suivi sans trop rire de moi sur l'idée qu'il y a un Chant de la beauté du monde, cette grande émotion qui rend le vivant, vivant. Vous avez aimé quand je parlais des oiseaux et des animaux, et quand je tentais de traduire leurs propos.

Vous avez aussi partagé mes espoirs et mes angoisses concernant les risques que courent notre monde. Nous n'avons par hérité de la Terre, nous l'empruntons à nos enfants. J'aimerais bien savoir qui a écrit cette magnifique phrase. J'ai tenté de la dire de toutes les façons possibles, parce qu'elle est maintenant d'une actualité brulante, et plus importante que jamais.

Mon plus grand échec: deux textes sur la dépression, où je n'ai pas réussi à expliquer qu'il y a une structure nouvelle dans notre société qui entraine une épidémie sans précédent de cette maladie. Souvent je pense m'y remettre parce que je pense toujours que cette question est centrale pour comprendre ce qui se passe maintenant. Peut-être que la dépression fait trop mal à ceux qui en vivent, pour qu'on puisse en faire une analyse.

Mon plus grand plaisir, c'est tous ces liens que j'ai fait avec des lecteurs formidables, avec qui il est vraiment passionnant de partager des petits plaisirs, des réflexions, des bonheurs et des tendresses. Merci, au moins 500 fois merci.