Qu'est-ce qui se passe?

il y a des trucs très bizarres dans le royaume de Sarko le Nabot. J'apprends que des groupes financiers très puissants font des opérations hors de l'ordinaire. J'ai l'impression que ça va couter cher aux français.
Je pense en avoir déjà parlé, et c'est bien connu, le financier canadien Paul Desmarais a eu un rôle très important dans l'élection du méchant Nicolas. Autre détail assez évident, Paul Desmarais n'est pas plusieurs fois milliardaires parce qu'il fait des bonnes oeuvres. S'il a investi dans un politicien c'est qu'il savait pouvoir en faire son profit. Paul Desmarais fricotte avec deux petits copains tout aussi connu pour leur efficacité à empiler les milliards, Albert frère et Bernard Arnault. Comme vous voyez, on ne parle pas ici de boursicoteurs ou de petits escrocs, mais de la structure même du capitalisme européen. Or le contrôle du capital de très grandes sociétés est en train de se modifier de façon importante. Je ne parle pas de PME mais bien de GDF, Carrefour, Suez, Imerys, Total, Lafarge. Cette énorme opération financière se fait avec l'aide des caisses de l'État Français. Nos trois compères profitent des baisses des marchés boursiers pour augmenter des participations qui leur donnent un contrôle effectif sur ces corporations. Un machin dont je ne réussis pas à trouver l'explication: Paul Desmarais a vendu autour d'un pourcent des actions de sa principale corporation pour avoir sous le coude un petit 140 millions, c'est un peu beaucoup pour payer son épicerie et à son age les maitresses ne coutent pas si cher que ça (elles espèrent te faire crever). Il y a certainement un coup tordu là-dessous, un coup tordu dont il a la spécialité. Après tout c'est le grand maître du "reverse-take-over", technique qui consiste à planifier ;je te vends ma compagnie... et avec le fric que tu me donnes, je vais racheter ta compagnie, donc je serai non seulement propriétaire de ma compagnie mais de la tienne en plus et toi tu pourras prendre ta retraite que tu le veilles ou non. Chose certaine, Nicolas l'affreux, il va vous couter très cher sous peu, j'en suis persuadé.