Une histoire de dragon
dimanche 11 septembre 2022, 18:10 Lien permanent
Je ne sais pas si elle est pour Alicia ou Louise, cette histoire. Disons que c’est une histoire pour tous ceux qui ont encore un cœur d’enfant, peu importe leurs ages.
Il y a un petit dragon… mais c’est gros comment un petit dragon? Je suis un ours polaire, donc j’habite le pôle Nord et je n’ai jamais vu de dragon. Paraît qu’il fait trop froid ici pour un dragon, petit ou gros. Remarque que j’en suis très content qu’il n’y ait pas de dragon ici, parce qu’avec leur feu, il pourrait brûler mon poil… et un ours pas de poil c’est pas très joli, et puis il fait vraiment trop froid pour se promener tout nu. Vaut mieux se promener à poil!
Donc il y a un dragon (plus ou moins petit) qui a été très malade. Je me demande s’il y a un hôpital pour dragons? À quoi ça ressemble un hôpital pour dragon? Il faut certainement des murs anti-feu… enfin, c’était une maladie très grave et il est passé tellement près de la mort, que son feu intérieur s’est éteint. Personnellement, je suis plutôt d’accord. Pour mon poil, je préfère les dragons pas de feu. Il pourrait même devenir mon ami, peut-être… Mais un dragon pas de feu, ça fait pas sérieux, et puis il risquerait de mourir de froid.
Donc, notre dragon doit rallumer son feu. Pour cela il doit manger une étoile. Pas une grosse étoile… ça peut être gros un dragon, mais vraiment pas assez pour manger une vraie grosse étoile. Non juste une toute petite étoile. Les dragons volent, mais les étoiles c’est vraiment trop loin, alors vaut mieux manger une petite étoile filante.
Oui bon, c’est triste de se faire dévorer par un dragon, mais si la petite étoile était restée sagement à l’école des étoiles plutôt que filer comme ça loin de ses copines et ses parents, le grand méchant dragon ne l’aurait pas mangé.
Je ne sais même pas si c,est un grand méchant dragon, mais juste un dragon qui veut être comme les autres dragons et ne pas mourir de froid… qu’en penses-tu?
Commentaires
J’en pense que c’est très beau et que j’aimerai bien être encore une enfant pour que l’on m’écrive des contes comme celui-là.