Merci Noé

Si vous pouvez me lire, c’est que Noé s’occupe de tout… Alors, dites-lui merci.

C’est à se demander si ça vaut la peine de maintenir ce blogue (j’insiste sur cette orthographe depuis 10 ans) quand on ne fait des billets que tous les dix jours qui plus est quand c’est souvent des reprises. Mais oui, j’ai encore besoin de dire mes petites histoires d’oiseaux, de loups et parfois d’humains. Sauf que vous le savez, je suis passé par l’hôpital ces derniers temps, un gros truc très lourd. J’ai passablement le goût de me plaindre, mais le blogue n’est pas fait pour ça. Alors je fais beaucoup silence.

 

Noé vient de changer plusieurs détails pour que ce soit plus lisible sur les téléphones portables. Les caractères sont plus neutres, c’est plus simple. J’espère que mes lecteurs sur petits appareils seront contents. Mayelkali est passée à droite. Elle ne surveille plus mes textes. Même elle se retrouve même en bas quand je n’en ouvre qu’un. Il faut vraiment que je retrouve ce texte sur cette amie, il s’est perdu dans les nombreuses transformations. Mayelkali, celle qui chante…

 

L’important c’est que l’ours est toujours là, le cul au frais à contempler le ciel à essayer d’y comprendre quelque chose. Parait que la sagesse est question de patience, que la chouette de Minerve ne s’envole qu’à la tombée de la nuit, etc. Pas sûr d’y avoir vu quoi que ce soit.

 

Merci Noé, de t’occuper de tout cela. J’ai grand espoir d’aller à Paris cet été pour te le dire en personne ( et payer mes dettes). Et vous tous chers lecteurs, dites merci à Noé et Sacrip’Anne sans qui ce monde serait beaucoup moins beau.