Une poitrine à Poil

Une Dame qui a pourtant de solides arguments pour se défendre, m’a mis au défi de montrer la poitrine de ma copine à powal. Je vous avouerai que j’ai dû négocier un peu pour son visage, elle n'aimait pas sa coiffure. Il n’y a rien de mieux semble-t-il que le powal pour faire augmenter ses stats. Assurez-vous que ceux qui continuent sont majeurs et consentants.

Par ailleurs, je ne comprends pas qu’un truc aussi désirable par votre espèce que le powal soit l’objet d’aussi nombreux martyr. Vous le coupez, brûlez, arrachez en hurlant de douleur et en vous en plaignant à longueur de blog, comme si c’était l’obscénité même, alors qu’à mon avis, c’est ne pas en avoir qui est obscène, ou du moins furieusement inconfortable par temps de grand froid.

À cause de mon age, j’en ai de moins en moins sur le crâne, ce qui m’oblige à porter un chapeau. Dieu merci en contrepartie il m’en pousse de plus ne plus sur le reste du corps, ce qui protège mes articulations de la bise, et surtout cache bien les petites ( ou moyennes) imperfections que l’age inflige à ce qui fut jadis un corps d’Apollon (d’accord ça fait très longtemps qu’il est mort Apollon).

En matière de poitrine, j’exècre les dames des USA gonflées artificiellement, et qui mélangent la séduction et la production laitière. Pour peu que l’objet ait une taille( sans taille il n’y a pas d’objet), la beauté de la ligne est plus importante que l’aire sous la courbe.

Oui il faut répéter la phrase de Souchon :

La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien

Mais moi quand je tiens, tiens,

Là dans mes mains éblouies,

Les deux jolis petits seins de mon amie,

Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie,