le retour de l'ours

D'abord dire merci à Leloolène, celle qui me materne efficacement dans mon incompétence avec les machines et à Sacrip'anne une fantastique copine de blogue qui m'encourage à revenir. Merci, merci, mille merci.

Après tout ce temps, il ne doit plus me rester beaucoup de lecteurs. Pas grave, j'ai un énorme besoin de parler. Je m'excuse à l'avance des fautes d'autograffe parce que ma dyslexie ne se guérit pas avec l'age et je n'ai plus le merveilleux correcteur Antidote sur ce nouvelle ordino qui a un clavier quertz, ça ne simplifie pas la vie.

J'avais cessé d'écrire à cause d'un grand amour qui me donnait l'impression de chercher des interprétations blessantes à chacun de mes mots alors que je cherchais le contraire. Mais on ne peut pas écrire avec cette surveillance réelle ou imaginaire sur l'épaule. Je reste un amoureux, je pense que je ne peux pas vivre sans amour. Je reviendrai sûrement sur le sujet, c'est ce qui me préoccupe présentement.

Je suis de passage à Paris pour quelque temps, magnifiquement accueilli par une amie blogueuse (en longue pose elle aussi). Son appartement est un peu petit pour servir de cage à un ours alors elle est partie chez une copine pour me laisser la place… difficile de demander plus. Merci Amandine.

À l'amour, sujet complexe s'il en n'est. Et quand on est en peine d'amour, c'est encore plus difficile d'en parler. Au cours des prochains jours je vais tenter de mettre des mots pour comprendre, si c'est possible de comprendre.