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Votre recherche de oies a donné 111 résultats.

lundi 13 novembre 2006

Bonne fête à la Fée Kozlika

Je lisais comme je lis toujours Samantdi, la sorcière sucrée. Elle parlait souvent de la fée Kozlika si bien que j’ai décidé d’aller voir. Deux ou trois semaine en presque silence, j’ai lu le blog. Mais avec la légèreté et la délicatesse qui caractérise les ours, il a fallu que je mette au moins deux pattes dans le grand plat.

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vendredi 20 octobre 2006

Le retour de Nillik,

Hier j’ai dit que je voulais retourner chez mes amis les oiseaux. Je n,ai pas eu besoin e bouger, ils sont venus à moi. Je revenais de ma marche du matin, et tout à coup le ciel s’est rempli de jappements. Après un long vol de nuit, ils cherchaient un endroit pour se reposer.

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dimanche 1 octobre 2006

Poème du dimanche: Nungutut

Je ne sais pas si c’est un poème. De fait le mot Nungutut est un poème, un terrible poème.

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lundi 25 septembre 2006

Le retour de Mahyénipigane

La grande dame des marcheurs de la Korsoak est tellement importante pour moi, que j’avais cru en parler très souvent ici. J’ai beau chercher, un seul billet sur sa longévité. Rien sur ce qui fait son importance. Je me promets de corriger cette erreur. Mais d’abord je vous présente sa résidence.

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mercredi 30 août 2006

La tristesse du roi

Je vous ai déjà parlé de Juan Leroy, le huard qui vit dans mon bout du lac. Oiseau hautain s’il en est, capable de son rire méprisant d’insulter qui il veut, c’est-à-dire à peu près tout le monde, me semble bien malheureux. Non je ne rirai pas à mon tour, un tel déboire peut arriver aux meilleurs.

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vendredi 4 août 2006

Au pays de Nillik

Que j’aimerais vous amener au pays de Nillik. La grande plaine marécageuse cache le pergélisol. Rien à voir avec les vertes collines de la Normandie, ou le sol brun et riche de la Beauce, c’est un pays dur, de pierre et d’eau, couvert de neige sept mois par année. Et dans ce court été, marcher est pénible, il faut ici voler ou glisser sur l’eau. Au pays de Nillik, l’été c’est la saison où les traîneaux glissent mal.

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jeudi 6 juillet 2006

Merci monsieur Ma Buse

Dans la cours j’installe une dizaine de mangeoires pour mes amis à plumes. Ils viennent en grand nombre, mais cela attire aussi beaucoup d’écureuils et de tamias. Cette année c’est vraiment l’infestation, il dévaste tout, j’ai dû agir. Je sais le jeu de mot du titre n'est pas fameux. Mais mon maître Angel, démontre qu'il ne faut pas laisser passer un jeu de mot même pas si bien, il y en aura pour le rire.

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dimanche 28 mai 2006

Ode à Koi-koi

C'est une petite histoire écrite l'été dernier. Mais l'appel des outardes hier m'a laissé un tel trou dans le coeur, qu'il me faut dire à Koi-koi que je me souviens, aussi bien que si c'était hier.

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mardi 23 mai 2006

Des nouvelles du Nord-2

Le lundi, je voudrais vous transmettre ce que certains de mes amis ont vus là-bas

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samedi 20 mai 2006

Allons au bois, les loups y sont

Je ne suis pas là. Je suis au bois. Mon fils veut que nous allions nous retrouver, y vivre un peu ensemble. Belle excuse, comme s’il ne savait pas que c’est la meilleure façon de me rendre heureux.

Je m’excuse de ne pouvoir répondre à tous vos beaux commentaires, ( j’en veux, j’en veux), et je remercie Damien le chevalier de Doune, qui met ce billet en ligne. Mais soyez sûr je vais tout lire et probablement y répondre individuellement par courriel tellement cet échange m’est important. Oui c’est pour cela qu’on a un blog, pour faire des liens.

Je disais hier un peu pour provoquer : les loups sont gentils. Parce que dans le dictionnaire que j’ai à coté de mon ordino à gentillesse cela dit : Qui plaît par son respect délicat des convenances dans ses rapports avec autrui.

Oui allons aux bois parce que les loups y sont. Parce que les loups dans le très grands respects qu’ils manifestent de l’équilibre et de la vie, permettent à la forêt d’être dans sa riche complexité, dans sa beauté sereine.

Merci pour les joies de cette première semaine de blog. Je me trouve vraiment difficile à rejoindre… Il faudra que je trouve une solution.

lundi 15 mai 2006

Apotom dit sa tendresse,

À plusieurs, j’ai déjà conté ma rencontre avec Nutkat ( la danseuse) une baleine mégaptère ( baleine à bosse, Megaptèra navaeangliae, Humpback Whale) qui m’a un peu appris ce que c’est que l’amour, tant sa tendresse, son affection, était grande. J’ai parlé aussi de Nokosa, la fille de Nutkat, avec qui je veux aussi tomber en amour, mais qui pour le moment veut se faire désirer un peu. Dans le chant du Monde, les mégaptères sont responsables de la joie, il faut un peu d’exigence pour découvrir la joie.

Il y a des gens que je connais qui tentent de passer l’hiver en Antarctique, leur bateau amarré dans une petite baie. Ils ont des temps vraiment très difficiles, avec une dizaine de jours de pluie dans le dernier mois. De la pluie dans ce coin-là qui est un des plus secs de la Terre, de la pluie alors que lorsqu’il tombe quelque chose c’est de la neige, si quelqu’un doute encore des changements climatiques…

Mais dans tous ces problèmes, il y a aussi des joies. Une mégaptère est allé leur dire l’amour de ceux de la mer. Je reconnais les jeux, et je sens dans mon cœur, la formidable puissance de l’émotion quand une baleine nous dit qu’elle nous aime.

Je ne sais pas si les mégaptères du Sud parlent la même langue que celles du Nord. Mais celle du Nord appelle ce monsieur Apotom ( le curieux). Ils ont un site et un film qui montre la rencontre : c'est ici

Vraiment extraordinaire…

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