J'ai souvent sur ce blog défendu le principe de la prédation. Mais parfois les principes nous entrainent dans des contradictions bien difficiles à accepter. Un exemple.
Je deviens ennuyeux avec mes histoires de hausse du coût des aliments. Alors plutôt que de travailler sur une petite présentation que j'ai à faire demain, j'ai décidé d'aller faire une marche avec le chien Platon. J'avais bien raison.
La folie totale des derniers jours ne m'a pas permis de vous souhaiter à tous bien du bonheur. Essayons de prévoir dans quelles terres pourront pousser ces joies que j'espère pour vous.
Il n'y a pas que les humains (merci beaucoup ça fait chaud au coeur) qui m'ont fait des souhaits, les clans épaulards de Toloyak aussi. Je suis vraiment le plus gâté des ours. J'ai aussi appris que des scientifiques très sérieux se posent de grandes questions, s'ils me l'avaient demandé, je connais la réponse.
Ce texte est aussi parmi mes préférés. Peut-être parce qu'il explique le mieux mon point de vue. je ne fait pas parti de la tradition inuite, pourtant je pense qu'il est nécessaire de dire. Je ne sais pas si ce texte est un poème. De fait c'est le mot Nungutut qui est un poème, un terrible poème.
Ceux qui lisent mes billets depuis assez longtemps, connaissent ma tendresse pour Juan LeRoy, le vieux huard du lac de la Belle Endormie. Je viens de découvrir un nouveau lien...
Voilà les dés sont jetés, je quite la forêt dimanche prochain pour la ville. Triste parce que l'automne a un peu de retard cette année, beaucoup d'oies ne sont pas encore en route vers le Sud, beaucoup de feuilles dans la cours sont encore verte, mais il le faut...
Deux bonnes nouvelles: malgré le froid mon basilic a survécu à la nuit! Il a eu tellement de misère le pauvre, qu'il a un goût très profond, adorable. Et puis c'est la fête de notre chère Trollette. A voir ses photos elle doit avoir 21 ou 22 ans aujourd'hui. Quel honneur, sa soeur la Cigogne, me demande une petite histoire comme cadeau...fiou, sacré défi! J'aurais bien aimé lui faire lire avant de le mettre en ligne mais je n'ai pu la rejoindre. J'aurais pu parler de l'exceptionnelle créativité de la Trollette, mais je pense plutôt me concentrer sur la première évidence: l'amour. Pour ne pas alourdir le texte je mets des liens qui j'espère expliqueront des détails.
C'est connu, je me lève avant le soleil. Oui, je fais souvent une sieste durant la journée, mais je serais très triste de rater un lever de soleil. Voici un peu pourquoi...
Au Nord de la terre de Baffin, c'est l'extrême Arctique, l'extrême de l'extrême. A l'ile d'Akiat, il n'y a plus de place pour les humains. Pourtant une vie extraordinairement riche s'y développe.
C'est drole comment les médias réagissent aux questions de bouffe. Comme l'assiette est jolie, mais surtout nier le lien qui nous unit à la planète. Nier le fait que nous sommes des animaux comme les autres, nier notre dépendance au cycle de la vie.
Il fera un 32 degrés humide sur Montréal. Il y a un avis de chaleur accablante. C'est pas un climat pour un ours. C'est le temps que je fasse ma migration vers le Nord. Après tout ça fait 45 jours que les oies sont passées, il est plus que temps.
Je cherchais un truc avec google, et voilà qu'un de mes billets est proposé comme réponse. Je vais lire et bon, il n'est pas trop mauvais celui-là. Il mérite d'être lu, je crois...
Je me suis ennuyé! Je suis loin d'avoir fini de tout remettre en état, mais au moins je vais pouvoir faire un billet. Les joies de l'informatique. C'est si simple quand ça fonctionne, mais quand ça bloque, fiou! Fichument difficile de s'en sortir.
J’ai entendu hier répéter une fois de plus le stupide discours néo-darwiniste. Vous savez l’impitoyable loi du plus fort, le droit du prédateur d’écraser le plus faible et autres justifications de l’esclavagisme, qui serait des lois d’une Nature qui aime les puissants au point de s’autodétruire. Voici une petite histoire qui pourrait sembler une exception mais qui est la réelle norme dans la nature, la recherche de la continuité par l’équilibre.
Pour ma jeune amie Lola (4 ans), je révise le texte et les notes d’une vieille histoire, qui mettent en scène une princesse comme il se doit à cet age-là. Vous vous en doutez, ma princesse ne porte pas de la soie, mais des plumes, plus fines et plus douces que tous les satins, plus chaudes que tous les duvets, et surtout si légères que le vol royal ne siffle pas.
Je vais répondre à la demande de Nziem et écrire bientôt un autre chapitre de La Lame de Ramah, il est franchement temps qu’il nous la montre, et puis dimanche prochain vous allez avoir d’autres choses à faire. Tiens, je vais m’y mettre tout de suite.
Alors plutôt que de faire un billet sur les oies qui reviennent parce que le temps est vraiment fou, je vous mets une chanson. Probablement que les chants de Noël, vous en avez par-dessus les oreilles, mais celui-là il est vraiment spécial et avec de la vraie guitare western comme on en entend que chez les Innus.
C’est évidemment Florent Volant, alors si vous aimez cela, je peux vous en mettre d’autres.
Je parlais hier de la maman et la fille se manifeste. Les baleines ont un système de communication au moins aussi efficace que l’Internet. Si j’ai bien compris ses allusions, je suis en retard.