Poème du dimanche même le mardi

J’ose. C’est bien de retranscrire les grands poètes, mais si je dis que je n’en écris pas, je ne serai pas très crédible. Ce n’est pas encore la version finale, la troisième strophe est trop lourde et fait couler le tout. Je vais le reprendre dans quelques semaines, ou quelques années.

Pour l'amour des petits capelans:

Ce sont ces poissons d’or

Poissons d’argent

Poissons d’azur

Poissons d’aqueuse nature

Rythme Inné

Vent de l’étoile

Ce sont ces poissons d’or

Poissons chantant

Poissons dansant

Soupirs ailés

Sourires lancés

Course de la mer

Ce sont ces poissons d’or

Libre dire de la libre vie

Amour et passion du sens

Atteinte de l’aurore

Par les pas de la nuit

Pour le fait de renaître

Ce sont ces poissons d’or

Que même morts

La mer berce encore

Pour l’oubli