Moukmouk de Pohenegamouk

La névasse, plus solide que la sloche, mais moins que la tiaffe, ça ressemble à de la neige, mais il y a trop de pluie dedans. C’est presque l’automne qui se déguise en hiver, un travesti, il semble beau, mais ce n’est que du faux.

Bon, il est temps que cela finisse. J’ai hâte de commencer la nouvelle histoire. Mais il ne faut pas gâcher le tout pas trop de précipitation. Si vous n’aimez pas, il faut me le dire, je corrigerai. Jusqu'à présent, j’aime assez bien cette histoire qui présente la culture inuit, c’était le but, je pense avoir réussi. La vie et la mort sont intimement liées, mais aussi le matériel et l’immatériel.

Voilà, je remplis ma promesse, je viens de terminer l’épisode 6. Je vais tout tenter pour finir avant Noël. Parce que je voudrais l’offrir à un ami, un magnifique conteur, qui n’utilise pas l’internet, il se méfie encore du téléphone (presque). Il va falloir que je me dépêche à finir parce que là le suspense est énervant ( pour moi en tout cas). J’ai une explication pour tout cela, j’espère que c’est la bonne, l’histoire va me le dire.

Ça se corse. Le danger est maintenant partout. Que faire? vivre en Inuk. Toutes les autres solutions sont pire. Je penses finalement avoir besoins de 7 parties. Il manque trop de détails pour dire tout ce que je veux. J'espère que vous aimez cela.

Tout le monde sait que je suis plus chien que chat*. J’ai déjà eu quelques félins dans mon entourage, mais je n’ai jamais compris leur langage. Remarquez qu’on pourrait dire cela de certaines bêtes à deux pattes, dont je ne doute pas de la qualité. Par contre le chien, ça s’est très facile.

Mes excuses aux Européens qui sont sortis hier par ma faute. Mais plusieurs ont quand même vu les Géminides, une pluie d’étoiles filantes qui a été assez généreuse cette année. Pour le brouillard, là je n’y peut rien, mais j’espère que cela vous a donné des goûts romantiques. On ne devrait pas s’excuser de faire sortir les gens, il me semble que c’est plus beau dehors.

Pour ceux qui habitent au Nord du 47ième parallèle (un peu au Sud de Paris disons Bale), une tempête magnétique importante atteindra la terre aujourd’hui. S’il n’y a pas de nuages et pas trop de lumière chez vous, vous devriez pouvoir assister à un magnifique spectacle.

Quand on parle du Nord, le phénomène qui intrigue le plus ceux qui n’ont pas fait cette longue route, c’est : Aurora boréalis, les marionnettes, les lumières qui dansent dans la nuit.

L’écriture est l’amie de ceux qui ne dorment pas. Alors, c’est dimanche voici la suite. Je me suis réveillé à 4 heures du matin, le temps de se préparer pour une bonne chasse. Malheureusement, le phoque est bien rare en ville… Il vaut mieux écrire. Pas que j’aie particulièrement peur des monstres de la nuit, ils sont plutôt ridicules dans leurs tentatives d’inquiéter. Mais ce n’est pas une raison de les laisser entrer. On finirait par en trouver, des raisons qui semblent plus sérieuses. Alors qu’il est de loin préférable de se laisser bercer dans la confiance des bras de la vie… Pour les nouveaux, allez aux 3 dimanches précédents pour le début du texte. Je pense qu’il en reste 2 ou 3 partie si j’ai bien compris l’histoire. Il faut cependant la laisser vivre, se fier à l’histoire comme on se fie à la vie, autrement les monstres des mots sont bien capables de nous empêcher d’écrire.

Si je veux apprendre à écrire dans le style de ceux de la forêt, une seule solution : pratiquer. Je me permets donc un petit conte pour adulte. Une occasion en or de parler du bel Otoutagan…Iskouéou, c’est celle que les films USA appelle Squaw.

Plus que 9 heures pour savoir si Nokosa a raison et que Accité-Ataciyé fleurira un jour après la lune de la neige. J’apprends que Tto2 aussi est de cette douce lune. Je lui souhaite tout le bonheur qu’elle mérite. En attendant, je prépare le prochain long texte que je veux écrire le plus près possible de la langue alghonkienne. Il vaut mieux faire un peu de révision.